« Les interventions in situ de Lise Létourneau participent également d’une sensibilité aux « micro-caractéristiques » ou à des aspects moins perceptibles de l’environnement. À Kiamika, elle colore les espaces creux d’une immense souche d’arbre à l’aide de charbon. D’une certaine manière, ce sont les vides qu’elle révèle et qui, pourtant, structurent la souche autant que les pleins. »
Edith-Anne Pageot, Géographies de l’impalpable, Catalogue d’exposition Au fil de l’eau – IU SOLI, 2012.
Mes œuvres sont rattachées à un lieu spécifique et inspirées des divers éléments qui s’y trouvent.