« Pour d’autres projets, elle explore les possibilités d’enrobement et de dévoilement du tissu. Il faut rappeler que le textile est un médium de prédilection chez elle. Généralement, les étoffes qu’elle utilise font souvent partie d’un patrimoine personnel, des retailles laissées dans les coffres de la maison, ou encore d’un patrimoine régional qui comporte des référents identitaires forts. »
Edith-Anne Pageot, Géographies de l’impalpable, Catalogue d’exposition Au fil de l’eau – IU SOLI, 2012.
Le toponyme «kiamika» en langue algonquine se rapporte directement à la morphologie du territoire, il signifie « rocher escarpé ».